RÉSUMÉ – Simulant non sans perversité la présentation des notices Wikipédia, un site protégé par le courageux anonymat de ses contributeurs a récemment publié une notice quasi diffamatoire me concernant, qui a failli semer le trouble chez certains de mes lecteurs. Quoique l’intégralité des informations concernant mes titres et travaux soit très facilement disponible sur mon site, les auteurs de la notice en question s’y sont perdus au point de m’attribuer sans rire la paternité de romans anodins, ainsi qu’une contribution conséquente à l’exégèse des Psaumes ; je m’y vois également reprocher d’avoir publié l’essentiel de mes œuvres dans une revue américaine qui n’a pas l’heur de leur plaire quand, après vérification, il apparaît que seuls cinq de mes 180 articles publiés (soit 2,8%) y sont parus… Le reste est à l’avenant à ceci près que, dans un sursaut de scrupulosité tout à leur honneur, mes détracteurs sont restés (pour l’instant ?) silencieux sur ma participation pourtant notoire à de nombreux films classés X ; on saura gré, également, à mes accusateurs d’avoir joué la carte de la discrétion quant à mon implication sinon évidente dans les crimes du curé d’Uruffe (1956), dans le contexte déjà plus que douteux de mon premier anniversaire. Pour finir et au terme d’une enquête digne des plus fins « profileurs » menée sous ma direction, on réunit ici les indices (incompétence, malhonnêteté réflexe, arrogance, moyens financiers disproportionnés et, finalement, bêtise crasse) qui devraient permettre d’identifier avec un degré raisonnable de probabilité les justiciers acharnés à dénigrer anonymement un engagement public qui vise, simplement, à un retour de l’industrie pharmaceutique vers un peu plus de morale - et de professionnalisme.
Bien qu’écrivant assez vite et me consacrant à des sujets que je crois bien connaître, je passe généralement plusieurs dizaines d’heures sur chacun de mes articles, parfois bien davantage.
Chez un travailleur "indépendant" [2] (c’est-à-dire ne recevant aucun salaire fixe ou régulier), un tel investissement de temps et d’énergie se fait forcément au détriment de tâches plus rémunératrices.
En conséquence, les lecteurs estimant que l’existence de mon site contribue au Bien Public sont informés que je recevrai avec gratitude tout soutien financier, fût-il modeste. La chose peut se faire soit directement à mon adresse postale, soit encore plus simplement via mon compte Paypal (adresse e-mail : agosgirard@free.fr).
La première mouture de cette présentation remonte au 07/06/2009. J’ai cru utile de l’actualiser.
En 2011, le site Avotresantécitoyens.fr a mis en ligne un bref extrait enregistré presque à mon insu (à l’issue d’une longue interview et alors que je n’avais plus la conscience d’être filmé).
Sur le signalement de fidèles visiteurs, une possible dégradation de l’enregistrement sonore m’amène à relever une ambiguïté quasi homonymique à 00:32 et 00:51 : quand je me plains qu’elles ont été chiches avec moi, c’est bien des fées que je parle, et non pas des "faits". À bon entendeur...
Par sécurité, je me suis finalement décidé à transcrire ci-dessous le contenu de cette méditation improvisée : après tout, elle est toujours d’actualité...
Tout le monde ne peut pas s’appeler Rumpelstilzchen [4] : Internet étant ce qu’il est, ce n’est pas forcément une bénédiction que d’avoir le 22e patronyme français...
P.S. du 30/01/12 : Si j’en crois les réactions des internautes après la diffusion récente d’une émission télé sur l’aluminium et les vaccins, le présent... rappel n’est pas inutile...
P.S. du 05/06/13 : Si j’en crois les messages inquiets que certains internautes continuent de m’envoyer (parfois en me communiquant une adresse e-mail probablement erronée), ce nouveau rappel n’est pas inutile.
A côté des enregistrements vidéo où il arrive qu’on fasse des lapsus (cf. Les mesures de la Chancellerie), il est deux sources d’erreurs ou de déformations sur lesquelles je n’ai aucun pouvoir :
Dans le présent article, je me propose de rectifier les plus ennuyeuses des erreurs publiées qui, d’une façon ou d’une autre, ont été portées à ma connaissance.
Des amis qui me veulent du bien (il y en a, si ! si !) se sont récemment alarmés de ragots traînant sur la Toile visant à me décrédibiliser au motif que certains de mes articles circuleraient sur des sites ou dans des revues jugés "peu recommandables" par mes détracteurs.
Peu intéressé, je l’ai souvent dit, par les question d’ego ou les querelles de personnes, je saisis néanmoins l’occasion pour faire un bref point sur les questions de fond auxquelles renvoient de tels dénigrements.
Plusieurs lecteurs se sont émus d’un silence qui s’est prolongé plus de deux mois. Du fond du coeur, je les remercie de leur souci à mon égard.
Trois raisons rendent compte de ce relatif silence.
C’est sans doute la première fois qu’on voit une "lettre ouverte" que son auteur a apparemment oublié d’adresser à son destinataire : il doit y avoir des ouvertures moins fermées [6]...
De toute façon et comme je m’en suis déjà expliqué, je n’ai aucun intérêt personnel pour les contributions qui me visent - s’intitulassent-elles pompeusement "A Marc Girard" : ma seule prétention est que les miennes soient assez objectives pour faire oublier leur auteur (et, le cas échéant, les personnes qu’elles sont parfois obligées de viser). Il y avait donc très peu de chances pour que je décachette cette lettre ouverte - si mes amis et bons correspondants ne s’étaient mis à plusieurs pour m’en faire part...
J’ai trop de respect ou d’amitié à leur égard pour snober leur envoi de fin d’année, et à quelque chose malheur est bon : car abstraction faite de "Marc Girard" qui n’en demande pas tant, il est une fois de plus possible d’extraire de cette lettre quelque chose d’intérêt bien plus général et qui concerne, comme par hasard, le souci qui a présidé à la création de la présente rubrique - la face obscure de la Toile, justement.
Un post-scriptum à cet article initialement posté le 27/12/11 a été ajouté en date du 31/12/11.
La création d’une sous-rubrique "Querelles de personnes" est justifiée dans les lignes qui suivent.
fr Informations sur le site et son auteur ?