Dans la Culture du narcissisme, n’importe quelle promesse de survie ou de moindre morbidité suffit à déclencher l’enthousiasme des foules : ce serait une tâche herculéenne de rectifier la désinformation alimentée par les médias dès qu’il s’agit d’offres médico-pharmaceutiques [2]. Cela n’empêche pas de s’appliquer à de telles rectifications au moins de temps en temps, surtout à l’heure actuelle où tout se passe comme si les responsables politiques et sanitaires s’attachaient à détourner l’attention des vraies menaces que, cette fois, ils font peser sur la santé des citoyens – par exemple, celles liées aux nouvelles obligations vaccinales auxquelles vont forcément s’ajouter bien d’autres obligations (vaccinales et non-vaccinales : dépistages incongrus tels que la mammographie ou les PSA, taux de cholestérol, échographies et autres tests obstétricaux...) avec leur immanquable cortège d’effets iatrogéniques parfois sévères, voire tragiquement invalidants. Je ne parle pas des herbicides ou pesticides (dans l’ordre des risques sanitaires parfaitement évitables moyennant un minimum d’intégrité politique…).
Sans aucune prétention à l’exhaustivité, les rectifications de ce jour concerneront deux thématiques dont on nous a abreuvé ces jours derniers : i) les perturbateurs endocriniens « affecteraient le comportement des petits garçons » (Le Figaro, 02/10/17) – et pas des filles, curieusement ; ii) « La majorité des nouveaux médicaments contre le cancer n’apporte que des bénéfices mineurs par rapport à ce qui est déjà prescrit » (Le Figaro, 06/10/17).
Dans la Culture du narcissisme, n’importe quelle promesse de survie ou de moindre morbidité suffit à déclencher l’enthousiasme des foules : ce serait une tâche herculéenne de rectifier la désinformation alimentée par les médias dès qu’il s’agit d’offres médico-pharmaceutiques [4]. Cela n’empêche pas de s’appliquer à de telles rectifications au moins de temps en temps, surtout à l’heure actuelle où tout se passe comme si les responsables politiques et sanitaires s’attachaient à détourner l’attention des vraies menaces que, cette fois, ils font peser sur la santé des citoyens – par exemple, celles liées aux nouvelles obligations vaccinales auxquelles vont forcément s’ajouter bien d’autres obligations (vaccinales et non-vaccinales : dépistages incongrus tels que la mammographie ou les PSA, taux de cholestérol, échographies et autres tests obstétricaux...) avec leur immanquable cortège d’effets iatrogéniques parfois sévères, voire tragiquement invalidants. Je ne parle pas des herbicides ou pesticides (dans l’ordre des risques sanitaires parfaitement évitables moyennant un minimum d’intégrité politique…).
Le commentaire du jour porte sur les dernières nouvelles colportées par la presse en cette fin septembre 2017 : 1) les sujets âgés consommeraient trop de médicaments, 2) une étude "particulièrement innovante" bien cachée dans un "rapport qui dérange" confirmerait la toxicité de l’aluminium utilisé dans les vaccins, 3) il y aurait toujours des irresponsables pour mettre leur vie en péril par défaut de vaccination...