« J’mas gouré » : c’est une citation de Bérurier, le héros de San Antonio. Quoique il me soit difficile de le reconnaître (car je me prends pour un type sérieux), force m’est d’avouer que je m’as gouré en beauté depuis quelques années. Je pensais qu’i fallait être sérieux avec les vaccins et que sans chipoter sur tel ou tel produit commercialisé par Big Pharma, un minimum de discrimination était de mise.
Or, reprenant le pensum des Actualités, je constate que tout est fait pour maximiser le ventes, même les plus improbables : les vaccins contre le HPV (Gardasil, Cervarix) pour ne citer qu’eux alors qu’on peut entretenir les plus grands doutes st sur leur bénéfice, et sur leur toxicité.
Ce n’est pas seulement l’offre vaccinale qui laisse pantois par sa bêtise ; dans un précédent blog, je m’insurgeais contre l’arnaque- pourtant évidente du coronavirus…
Voici quelques jours, vaquant au hasard sur une radio « sérieuse », je tombais sur une émission confiée à une professionnel de santé et qui listait sans rire les vaccinations recommandées et, plus encore, un plan d’attaque pour inciter les parents à prendre l’initiative.