Glucksmann : il n’est pas trop tard
Voici quelques jours, je me gaussais à propos de Glucksmann, en affirmant qu’il avait l’étoffe à renaître de ses cendres – l’étoffe d’un phénix pour le dire carrément. Depuis, on a appris que Belmondo avait été enterré au Panthéon, demeure destinée au repos éternel des dieux (comme chacun sait, du moins dans les écoles où la fermeture des classes ne sera plus automatique au premier cas positif de Covid : le virus ne doit pas empêcher notre belle jeunesse de travailler et d’apprendre à apprendre, par exemple les fondamentaux de la théorie des genres, selon les prescriptions Philippe Meirieu).
Le Panthéon a vocation à honorer de grands personnages ayant marqué l’Histoire de France (hormis pour les carrières militaires normalement consacrées des Invalides, actuellement à risque de surpopulation vu le nombre de malheureux qui y sont transférés – généralement malgré l’opposition de leur famille – pour cause de balles perdues dans les glorieuses campagnes menées par le Président, avec les succès militaires que l’on sait contre les Talibans. Mais pour le Panthéon, on y a traditionnellement envoyé Voltaire, Jean-Jacques Rousseau, Victor Hugo, Louis Braille, Sadi Carnot, Jean Jaurès, Jean Moulin, Pierre et Marie Curie … j’en passe et des meilleurs tels Simone Veil (et son mari, embarqué avec sa femme au nom des liens sacrés du mariage), Belmondo comme on vient de le dire, etc. (on ne sait pas encore ce qui sera décidé pour Bernard Tapie, dont on annonce le décès aujourd’hui et qui fut un président « mythique », en plus de sa carrière légendaire de redresseur d’entreprises).
En matière de liens sacrés si, pour entrer au Panthéon, avoir un conjoint est un plus, surtout s’il est photogénique, on rappelle que Glucksmann a convolé avec la délicieuse Salamé, dont il faudrait être un blaireau a-genré pour contester qu’elle l’est (photogénique)…
Bon, bref. C’était juste pour informer mes lecteurs de ce qui se passe d’important dans le monde.
Ah oui ! S’il s’agit ce qui compte dans le monde (qualitativement tout autant que quantitativement), j’allais oublier l’histoire de ce Japonais souffrant du « syndrome de l’anus sans repos » – et apparemment seul au monde à faire l’expérience de cette nouvelle complication de la PANdémie covid…
Souhaitons à Glucksmann (qui s’”y connaît en validation scientifique”) le meilleur pour son anus.”
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