Covid et remèdes de bonne femme
Juste à la fin des vacances de Toussaint, j’ai reçu d’une amie enseignante (très impliquée dans son travail et pas vraiment le genre Meirieu-phile), l’e-mail suivant, qui offre l’occasion d’un point rapide sur la pseudo-PANdémie et les moyens d’y faire face.
Cher Marc,
Depuis notre dernier échange, je suis restée silencieuse. En fait, j’incubais le virus du Covid, et je l’ai déclaré une semaine après.
Depuis, deux semaines où je suis restée alitée avec des maux de tête, des nausées, des douleurs musculaires, des quintes de toux, et la perte de goût et d’odorat.
Une belle cochonnerie !
J’ai prévu de reprendre mes cours demain – mais en serai-je capable ?
Nous verrons.
PS. Il semble qu’il y ait une prise de conscience des méfaits de ces drogues qu’on appelle vaccin anti-Covid ? Qu’en penses-tu ?
Ma réponse
Chère ***,
Merci pour ces nouvelles.
Je crois que les infections virales de type grippal (comme le covid, quoi qu’on en dise) sont le cadeau de la Providence pour réactiver notre immunité non spécifique (on ne peut pas avoir des anticorps contre tout). La tienne avait besoin d’être re-boostée: tu avais énormément travaillé, tu avais du souci, etc. Il arrive qu’on mette du temps à récupérer, mais c’est classique aussi. Je ne vois d’autre option que d’être patient, et les remèdes “de bonne femme”: fumigations, grogs si ce n’est pas contraire à ta religion – et puis l’arrêt-maladie s’il s’impose (on ne paye pas la sécu pour les chiens).
Excuse-moi d’être si “bonne femme”…
Ne fais surtout pas d’efforts physiques (un marathon, par exemple), et ne prend pas froid non plus.
Quant à ta question sur « les méfaits de ces drogues qu’on appelle vaccin anti-Covid », je me permets de te renvoyer à mes écrits sur le sujet.
Je te souhaite le meilleur rétablissement possible, et t’embrasse compassionnellement.