Quand les banquiers organisent la Santé Publique
Il n’est pas bien difficile de vérifier que, pour la première fois dans son histoire, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) est dirigée par un non-médecin (Tedros Adhanom Ghebreyesus) lequel reçoit ses ordres d’un autre non-médecin, Bill Gates, principal donateur de l’Organisation. Ayant fait fortune dans l’informatique, ce dernier sature les médias de ses recommandations vaccinales quoique il soit est également dépourvu de la moindre compétence médicale en dépit du fait que, si l’on en croit le bon Dr Bernard Kouchner,« la vaccination est un geste médical à part entière ».
Les optimistes incurables pourraient penser qu’à un certain niveau de responsabilités, la compétence organisationnelle prime sur la compétence technique et que, en conséquence, les mots d’ordre d’en haut sont validés par des professionnels compétents. Mais entrons un peu plus dans le détail.
Prenons l’exemple du service de santé britannique (le National Health Service), qui fut naguère un modèle de compétence scientifique et de rigueur gestionnaire, à une époque où les médecins français étaient d’une inculture encyclopédique en épidémiologie et d’une irresponsabilité prodigieuse en gestion 1. Cet organisme prestigieux (avec la haute main sur les recommandations vaccinales) est aujourd’hui dirigé par Richard Meddings qui, à l’instar de Gates, n’a aucune compétence médicale : il était auparavant Executive Director de la banque Crédit Suisse.
Mais il y a plus fort. La presse internationale fait état ces jours d’une enquête menée par un consortium de journaux internationaux, révélant que le Crédit Suisse a hébergé durant plusieurs décennies des dizaines de milliards d’euros de fonds d’origine criminelle. Cela n’est pas la première fois : depuis un an, le Crédit Suisse est secoué par une série de scandales suggérant un laxisme moral et déontologique dans sa gestion.
Il suffit de lire des journaux comme The Lancet pour constater que parmi les sources d’argent sale qui alimentent le scandale, on trouve la drogue, la prostitution, la contrebande, toutes activités où s’impliquent généreusement des figures de la bienfaisance médicale qui, plus ou moins directement, remontent à l’OMS.
Tout ça permet d’expliquer le paradoxe qu’on n’a cessé de dénoncer sur le présent site : la mobilisation sans précédent des instances sanitaires internationales autour d’une grippette nommée, à tort, « PANdémie ». L’enjeu n’est pas de sauver des vies dans la population générale, mais de maximiser les bénéfices pour quelques-uns, dont l’executive director du Crédit Suisse…