On connait les délires de Trump ou de son équipe sur les « faits alternatifs ». Mais de ce côté-ci de l’Atlantique, les opinions ne sont guère plus crédibles : il suffit de penser aux diverses versions du Premier ministre sur l’affaire Betharram… Et quitte à regarder dans un passé récent, on pourrait évoquer : Fillon et son épouse, Nicolas Sarkozy, Jérôme Cahuzac, François Hollande, qui plaçait dans « la finance » son « ennemi » le plus redoutable…
À y regarder de plus près, on se dit que les mensonges des hommes publics ne datent pas d’hier. Sans remonter à la façon dont Vercingétorix a dû promettre à ses tribus qu’elles n’allaient faire qu’une bouchée des armées de César, ou, plus récemment, à la manière dont Napoléon III a probablement célébré la formidable défaite que les Français aller infliger aux Prussiens, il n’y a qu’à se baisser pour retrouver la trace des façons dont les dirigeants mentent au peuple.
Que dire alors de la formidable arnaque qui a abusé nos concitoyens à propos du Covid, laquelle a piégé (et continue de piéger) quasiment tout le monde, dont des gens qui n’étaient pas tous idiots ?
Or, sur cette question, nous n’étions pas démunis. Où étaient les morts forcément innombrables de la PANdémie ? Où étaient les malades, quand on avait vidé les hôpitaux ? Que valaient les tests censément diagnostiques ? Qui les fabriquait ? Que valait le « vaccin » dont il était notoire que, par suite de l’urgence-sic, il n’avait pas été développé correctement ? Que valaient les imbéciles (par exemple de l’ARS) sélectionnés par des nuls habitués à l’erreur ? Enfin et pour tout dire, à qui cette panique profitait ?
Il n’y avait pas besoin d’être microbiologiste ou virologue pour comprendre. J’en reviens à mon idée déjà ancienne de « critères de crédibilité ». J’en reviens surtout à mon idée centrale que « la santé » est un moyen de faire de l’argent, de faire beaucoup d’argent. Les médecin de Molière l’avaient parfaitement compris.