Covid encore

Encore une pandémie

Il faudrait croire que nous vivons avec une « pandémie » c’est -à-dire une maladie qui frappe tout le monde ou presque. Comme la précédente, d’ailleurs – dont la quasi-totalité de mes lecteurs – par la force des choses : si ce n’est tout le monde- du moins beaucoup de monde…
Cependant comme la précédente encore, qui l’a vue, cette « pandémie » ? Je suis en train de lire une histoire du monde rural depuis le 14e siècle, dans notre pays. À une époque où, le monde rural, c’était peu ou prou tout le monde. Une époque où, justement, il y avait des « pandémies ». Une époque où faute de place, on déplaçait les cimetières. Il y avait des cadavres partout, pour le plus grand régal des loups qui pullulaient.
Détail anecdotique, mais épidémiologiquement assez évocateur : j’habite désormais dans un bled de 143 habitants où, statistiquement, une pandémie aurait dû faire des trous (on a des précédents historiques pour illustrer mon estimation) : l’an dernier, nous avons eu deux décès (un cancer du sein, un de l’utérus) – chez deux femmes d’un certain âge : sûrement très regrettable humainement, mais dérisoire épidémiologiquement. Notre doyen, lui, se porte bien, il a juste 95 ans ; la pandémie l’a épargné (sûrement un miracle – j’habite à quelques kilomètres de Pontmain, village où la Vierge est apparue en 1871…)
Peu de gens se rappellent que le mot « pandémie » s’est vu falsifié par Gates & Co (et ses séides locaux de l’ARS ou d’ailleurs dont « l’expertise » consiste à gober n’importe quoi, puis à relayer ce n’importe quoi. Mais qui a vu les amoncellements de cadavres, surtout avec un diagnostic bien établi ? Sachant de plus que rien n‘est plus problématique qu’un diagnostic viral dûment validé (ils sont où, les patients bêtement décédés d’un syndrome grippal ?). Le hasard fait que le jour même où je me décide à écrire ce post, la station Sud Radio présente une émission elle aussi consacrée au COVID avec l’épidémiolgiste Pierre Chaillot, qui documente la fausseté patente de l’alerte, la surmortalité directement imputable au vaccin anticovid, la désastreuse organisation de la pharmacovigilance en France et en Europe, la médiocrité du personnel de charge de la pharmacovigilance, les conflits d’intérêt, etc. J’aurais peur de me répéter à entrer dans le détail…
À qui profite cet amalgame ? Voici encore peu, les « Antivax » s’insurgeaient contre deux ou trois vaccins censément obligatoires. Aujourd’hui, on prétend vacciner contre n’importe quoi. J’ai vu passer des recommandations de vaccination contre l’acné. À quand un vaccin contre la frigidité ? Il y aurait sûrement un marché…