Pas de chance : la nouvelle « poussée » pandémique loin de signer qu’on s’était planté la première fois, était présentée par tout le monde comme une rechute, et signait par conséquent l’impérieuse nécessité de porter un masque. Au contraire de la première fois, je ne pouvais pas esquiver – étant convoqué à l’hôpital d’Angers le demain de la décision « officielle ». Il est évident que j’aurais été refoulé dès l’entrée. Assez contrarié, je me présentais donc aux admissions où les masques étaient distribués. Ostensiblement, je me saisis donc de l’objet, mais pour l’ôter sitôt passé l’entrée. Arrivé au 3e étage (mon masque à la main), je cherchais donc d’entrée du scanner, et pris plae sur la d’examen qu’on m’indiquait. En l’examen était asses « invasif » (on m’a posé un ctathéter) dans un contexte où je fus pas mal tripoté, mais en conservant mon masque à la main… Après injection du produit de contraste via le cathéter, j’attendis la séance de scan proprement dite, toujours mon masque à la main. Je fus fréquemment visité par les infirmières venues vérifier que je n’étais pas en état de choc. Tout cela a duré une grosse demi-heure, et on vint me dire que c’était fini… Je remis mes chaussures, avant de laisser la place et de prendre congé. Depuis, je ne suis pas contaminé, et mort encore moins…
Ce qui ressort de cette brève expérience, c’est d’abord l’intransigeance bornée de la direction concernant l’obligation aveugle du masque chez les humbles du personnel forcés au port du masque. C’est ensuite l’irrationalité de ce milieu concernant les principes de base d’asepsie. C’est, enfin, la folie ambiante concernant la « pandémie » : s’il y- avait vraiment un risque infectieux. Dans toutes les « pandémies » non fantasmées (peste, typhus…), les gens vivaient dans la terreur la terreur d’une contamination et ils se conformaient aux protocoles qui leur paraissaient adéquats. Ici, c’est du n’importe quoi, alors même que sur le papier, ils ont tous minimum de culture concernant les infections et leur transmission. Il est évident que si le covid était aussi menaçant qu’on cherche à nous le faire accroire, c’est par milliers voire par millions qu’on en dénombrerait les victimes. J’étais l’autre jour à une réunion locale à laquelle participaient quelques élus, dont une femme masqués qui s’est présenté comme atteinte le « la » grippe, quoique dûment vaccinée dixit. J’ai failli lui faire remarquer qu’un vaccin antigrippal qui ne protège pas contre la grippe – on peut d’en passer. Mais bon : les propos sur le sujet sont tellement idiots, qu’on ne peut pas passer son temps à les réfuter…
Résumons : il est évident que la « menace » de contamination n’a jamais existé ailleurs que dans la tête de ceux qui ont intérêt à entretenir un climat de panique – on se demande bien qui…