La tromperie du coronavirus
Cela fait un certain temps que je brûle d’évoquer le coronavirus et la formidable tromperie inhérente. Rien de très neuf : on déjà connu le « mal qui répand le terreur » (attention à ne pas insérer d’accent circonflexe sur le a (je ne suis plus en âge de répandre une saine terreur libidinale chez mes voisines mayennaises, même quand elles se baladent en short – snif ) !
Au début, nous étions censés tous crever (pandémie oblige), mais force est de constater qu’on cherche vainement les charniers que n’aurait pas manqué de provoquer une vraie pandémie… Arnaque ? Mais pourquoi compte-t-on dans ceux qui crient tant de médecins que l’on avait pris pour de raisonnables confrères, qui n’y ont aucun intérêt évident ?
Il y avait bien le précédent de la grippe H1N1, mais sauf chez les cons incurables, il existait quand même des protestataires ou sceptiques invétérés. Mais avec le COVID, rien… Songez au temps perdu à remplir des papiers (qui ne seront jamais exploités), aux plans d’attaque proprement vertigineux. Qui n’a connu à l’occasion du moindre prétexte les formulaires interminables, les tests pour rien, les interventions banales ou majeures reportées ou annulées pour rien ? Lors de ma récente prothèse de hanche, alors que je n’avais pas la moindre goutte au nez, je ne vous dis pas l’anxiété du report sine die toujours envisageable alors que je souffrais vraiment dans l’attente de l’intervention…
Il est difficile de trouver la moindre explication rationnelle à ce vent de panique totalement injustifié. Où sont les charniers qui auraient dû immanquablement être associés à ce qui nous était présenté comme une pandémie parmi les plus sévères ? Combien de victimes dans une pays où la peste (n’importe laquelle) se solderait par une foule de victimes évoquant Verdun (au moins…).
Merci de m’écrire si vous avez la réponse… Moi, je sèche…