Huitième vague et risque de valise
Interdit de rigoler : nous sommes entrés dans « la huitième vague » (JDD, 14/10/22). À dire vrai, je n’ai pas compté (je merde à partir de 1+2), mais tout le monde dit ça : enfin tous ceux qui ne rient pas à gorge déployée – dont nos meilleurs-experts, soutenus par les plus fiables de nos journalistes (ceux qui ne sont pas mis examen pour péché de concupiscence à l’égard des plus accortes de leurs jeunes collègues). N’ayons pas peur des noms : les Autran, les Lina, les Delfraissy… Sans parler des nouveaux venus qui aimeraient bien acquérir la notoriété de leurs grands anciens…
LE problème (dixit les meilleurs-experts), c’est que cette huitième vague pourrait être « plus meurtrière que les précédentes », lesquelles n’ont tué personne ou à peu près, comme on s’est exténué à le ressasser sur ce site depuis l’apparition de cette PANdémie effroyable. La seule mise en danger, c’est celle les finances publiques – sans parler du petit personnel soignant qui crève de chaud sous des masques pollués. Sans parler, non plus, des médecins qui s’appliquent à dramatiser le risque, histoire de se faire passer pour un héros qui n’a peur de rien : on a connu ça lors de la Peste noire, sauf qu’il fallait effectivement être héroïque pour s’exposer.
Je ne parle pas des nourrissons ni des bébés, condamnés à l’autisme par un personnel de puériculture contraint de se masquer pour s’occuper des gamins.
À propos, dans cette nouvelle génération d’autistes induits par l’imbécillité des adultes, cela fera combien de gamines qui s’amuseront à tuer leur copine pour ranger soigneusement le cadavre dans une valise ?
Et ça fera combien d’avocats plus médiatiques qu’intelligents pour inviter le public indigné à la “décence” ?
Vous ne rigolez plus ?