Les abrutis affectant de maîtriser des événements qui leur échappent se sont entendus avec les forces de « l’ordre » ( ?) pour imposer le port du masque un peu partout, sans que l’on aperçoive le moindre élément de rationalité à ce nouveau diktat. Mais ça fait sérieux d’avancer masqué, même et surtout si l’on ne sait pas où on va.
Le modèle fantasmatique de ces abrutis, c’est la salle de chirurgie. Un minimum de culture médicale, voire d’intelligence, les aurait amenés à savoir que les salles blanches où l’on porte des masques reçoivent un flux laminaire qui épargne la buée sur les lunettes. Pour le reste du vulgum pecus, le port d’un masque se traduit par une buée envahissante, comme chacun peut en faire l’expérience.
Il en résulte que cet impératif du masque ressemble fort à ce qu’en droit on appelle « mise en danger », dont la qualification pénale va de soi. De soi, SAUF pour les cabinets désormais innombrables de juristes « spécialisés » qui rançonnent le consommateur inquiet sous le prétexte d’actions à mener toutes plus fantaisistes les unes que les autres qui n’aboutissent jamais. Il y a beaucoup d’avocats chéris du public, qui peinent à distinguer le civil du pénal, mais n’ont aucune inhibition à accréditer qu’ils sont capables de faire une synthèse critique des milliers de pages fixant la norme en matière de réglementation vaccinale (en ce qui concerne aussi bien les paramètres biologiques, statistiques, pharmacologiques, épidémiologiques, toxicologiques pertinents sur le sujet).
Pour l’épidémiologiste de base comme mézigue, il y a là un phénomène fascinant, qui a échappé à nos meilleurs-experts (comme Delfraissy ou Garot) : plus t’es con, plus tu résistes au virus.